Rugb’images accueille les ténors de la photographie

  • Le maire Patrice Gausserand s'est réjoui de l'ampleur prise par ce festival. Gaillac fait partie des trois villes du département à avoir cru en Rugb'images et à l'avoir soutenu, il y a cinq ans.
Le maire Patrice Gausserand s’est réjoui de l’ampleur prise par ce festival. Gaillac fait partie des trois villes du département à avoir cru en Rugb’images et à l’avoir soutenu, il y a cinq ans.
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Le vernissage de l’exposition des photos d’Alain Mounic, proposée tout au long du mois de mars par Rugb’images au pôle Culture (place d’Hautoul) a donné à Claude Martin, président de Rugb’images l’occasion de rappeler que si le Festival concerne aujourd’hui sept villes du département, Gaillac a fait partie des trois premières à l’accueillir et le soutenir il y a cinq ans. Claude Martin a remercié les élus, notamment Patrice Gausserand, lequel s’est réjoui de la montée en puissance du festival, mais aussi les services de la ville, les agents qui aident à la mise en place, et les partenaires privés qui n’ont jamais relâché leur soutien initial : Hubert Mauillon (E. Lelclerc), Sylvain Laclau, et Dany Delmas (Infaco). La galerie marchande de l’hypermarché accueille d’ailleurs une deuxième exposition de photographes internationaux qui ont choisi le rugby pour thème de travail.

 

De nouveaux participants

Claude Martin a également indiqué que lors de la soirée gaillacoise, mardi 26 mars, à la salle de spectacles, où seront remis les prix du meilleur documentaire TV et celui du concours «Pitchouns d’Oc» de la Ligue d’Occitanie, de nouveaux invités rejoindront les présentateurs Guilhem Garrigues et Vincent Clerc. Il s’agit du catalan Jean-François Imbernon, de l’ancien capitaine du XV de France Thierry Dusautoir, et des champions de France gaillacois sous le maillot du Castres Olympique Antoine Tichit et Geoffrey Palis. Il appartenait à Alain Soriano de ponctuer le vernissage en commentant quelques photos d’Alain Mounic. L’adjoint à la culture, ancien joueur et éducateur de rugby, l’a fait avec passion et lyrisme. «Alain Mounic a saisi l’âme du jeu, l’intelligence du joueur qui sait ouvrir un espace, inventer un geste. Elle se lit dans les regards. À l’heure où un certain rugby, assez virulent pour ne pas dire violent, inspire la crainte aux familles qui hésitent à y engager leur enfant, Mounic montre qu’il y a une place pour tout le monde dans ce jeu merveilleux. Disons-le : sans le rugby, notre Occitanie ne serait pas tout à fait la même».