Rugb’images joue sur grand écran ce soir

  • Gaillac accueille deux expositions photos de Rugb'images (Pôle Culture et galerie marchande de l'hypermarché E. Leclerc) mais la soirée de ce soir consacrera des courts et longs métrages./ DDM
Gaillac accueille deux expositions photos de Rugb’images (Pôle Culture et galerie marchande de l’hypermarché E. Leclerc) mais la soirée de ce soir consacrera des courts et longs métrages./ DDM
 

Comme chaque session depuis cinq ans, Rugb’images, le Festival de la photo et de la vidéo sur le rugby, fera étape à Gaillac. Lundi 25 mars, le Festival présentait une sélection de documentaires TV du concours et mardi 26, Carte Blanche sera donnée à Canal +, à 18 h 30, à Imagin’cinémas. La projection de «Chasseurs d’essais», «Antoine Dupont : reconstruction» et «Zapping» sera animée par Guilhem Garrigues, avec la participation de l’international Vincent Clec, un des «serials marqueurs» du rugby international. À la suite de ces projections, vers 20 h 45, commencera la soirée de gala à la salle de spectacles. On annonce la présence de plusieurs internationaux, les Castrais du CO Geoffrey Palis, Antoine Tichit, Armand Battle, Julien Dumora et Rodrigo Capo Ortega. Plusieurs grands noms du Stade Toulousain pourraient être aussi de la fête dans le sillage d’Hubert Mauillon, un des parrains du Festival.

Cette soirée sera l’occasion de remettre les prix du concours du meilleur documentaire TV et du concours «Pitchouns d’Oc» sous l’égide de la Ligue d’Occitanie. Dans la compétition «Art et Essais», trois longs-métrages se disputaient les faveurs du jury «Flambant 9, dans la tête d’un demi de mêlée», de Thomas Glavany et Arnaud Bonnin qui plonge dans l’univers complexe de ce poste. Autres candidats au trophée, «Le rugby dans les cités, Banlieue 15» de Guilhem Garrigues, et «Dragons catalans», de Laurent Bidot, qui suit l’équipe jusqu’en finale. Cinq courts-métrages seront aussi en compétition : «Rodrigo Capo Ortega», «Boxing days», «Blessures invisibles», «Le retour du beau jeu» et «Castres, la méthode Urios». Hors concours, en bonus, l’intronisation dans la Dive Bouteille de Christophe Urios par Jack Bonnery. La soirée gaillacoise prend la forme d’une veillée où l’expression «la famille du rugby» prend tout son sens et sa saveur.

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